Gravimétrie : Remplissage pour batchs de taille moyenne

Le 24/12/2014 à 15:14 par La rédaction

Depuis plus d’un demi-siècle, la société Azo joue un rôle de pionnier dans le domaine de l’automatisation de matières premières dans les secteurs alimentaire, pharmaceutique et chimique. Elle propose des circuits d’alimentation automatiques destinés à l’entreposage, à la décharge, au tamisage, au transport, au dosage, au pesage et au mélange à l’aide de la technologie informationnelle de processus des plus modernes dans les secteurs alimentaire, pharmaceutique et plastique.

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L’histoire commence en 1949 dans une ancienne bergerie d’Osterburken dans le Bade-Wurtemberg (Allemagne). Adolf Zimmermann et son épouse Marianne ouvrent une entreprise de construction de moulins. Après la journée de travail, ce bricoleur passionné construit des machines pour les minoteries et les boulangeries. A cette époque, il ébauche déjà les plans de la tamiseuse à courant de Foucault qui va acquérir, plus tard, une réputation mondiale. Deux ans plus tard, il construit un « sasseur pyramidal ». C’est un maître boulanger qui donne la dernière impulsion à la construction de la tamiseuse de farine centrifuge. Cette dernière est commercialisée en 1952 sous le nom de « Triumpf » et est considérée comme le prototype de la tamiseuse à courant de Foucault telle qu’elle est connue aujourd’hui.
Le salon professionnel de la boulangerie et de la pâtisserie qui se tient la même année à Stuttgart voit signer les premiers contrats de vente et met la lumière sur les exigences spécifiques du client. En effet, les machines jusqu’alors en bois, doivent désormais être entièrement en métal, ce qui représente un défi considérable pour la jeune entreprise et ses employés. Dès le milieu des années 50, la société Azo approvisionne le secteur de la boulangerie artisanale et l’industrie du pain en installations complètes pour la mouture, le tamisage, la dispersion et la régulation thermique avec ventilation mécanique, voire pneumatique...

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Retrouvez la suite de cet article dans le Journal du Vrac n°99 novembre-décembre 2014