Le vrac reconnu comme un secteur industriel porteur

Le 25/06/2014 à 15:33 par La rédaction

Selon une étude récemment diffusée par le cabinet Euler Hermes, spécialiste mondial de l’assurance crédit, sur l’ensemble des risques sectoriels par pays, les secteurs de la chimie, de la pharmacie et de l’industrie alimentaire conservent les profils de risque les plus favorables. Des secteurs particulièrement concernés par le vrac. L’exception vient de la construction aux situations plus contrastées. Morceaux choisis.

Même si, dans neuf cas sur dix, les risques sectoriels par pays demeurent aux mêmes niveaux qu’en 2013, les conclusions du cabinet Euler Hermes pour 2014 opposent clairement la situation de secteurs tels que le textile, la construction et le transport aérien, qui ont entamé l’année avec les niveaux de risque les plus élevés, à ceux de la chimie-pharmacie et de l’agroalimentaire pour qui la situation est plus favorable.

Le cabinet, qui assure le suivi des risques de dix-sept dans soixante-douze pays, représentant 95 % du PIB mondial, établit des notes de risque sectoriel (faible, modéré, significatif, élevé) pour chaque pays et concentrent ses prévisions en matière de demande, financement, rentabilité et climat des affaires. Dans un contexte de reprise mondiale encore insuffisante pour bénéficier pleinement à une majorité de secteurs, la majorité d’entre eux est encore jugée « à risque » pour 2014 (49 % à risque modéré et 25 % à risque significatif ou élevé). Seuls 25 % présentent des fondamentaux ou des perspectives suffisamment solides pour commencer 2014 avec un niveau de risque faible.

Tous les détails dans le "Journal du vrac" n°96