Mesure de niveau : Vega focalise le signal pour booster la technologie radar

Le 17/11/2015 à 12:39 par La rédaction

Avec son capteur de niveau radar « Vegapuls 69 », la société Vega, spécialisée dans la mesure et détection de niveau et la mesure de pression, optimise la mesure de niveau des solides en vrac grâce à une meilleure focalisation du signal de mesure.
JDV105_18Afin de répondre aux besoins de mesure de niveau de produits en vrac tels que les cailloux, le ciment, le béton et bien d’autres encore, la société Vega, dont le siège est basé à Schiltach en Forêt Noire (Allemagne), développe depuis une douzaine d’années la technologie des capteurs radar sans contact. Avantage : cela préserve les capteurs d’un environnement souvent très dur. L’onde émise par le capteur rebondit à la surface du produit, son temps de parcours est converti en mesure de distance, ce qui permet au capteur de délivrer l’information de hauteur de produit mesuré, donc le niveau. L’autre intérêt majeur repose sur le fait que, contrairement au principe à ultrason, la mesure radar n’est pas influencée par la poussière, les bruits alentours, les gradients de température, le vent, la pluie, etc. Même en cas de dépôts de poussière ou d’encrassement important, la mesure radar continue à fonctionner. Avec le capteur « Vegapuls 69 », dernier-né de la série, le constructeur a cherché à repousser les limites de la mesure de niveau de ces produits grâce à une meilleure focalisation du signal de mesure. L’objectif étant de répondre à des besoins de plus en plus spécifiques et pointus.

Des applications multiples en environnements difficiles

La fabrication du ciment pour laquelle la farine crue, le clinker et le ciment fini sont stockés dans des contenants de géométries différentes, en est une illustration. Jusque-là, il fallait utiliser des capteurs de niveau radar avec des plages de mesure différentes, ce qui exigeait parfois des prouesses de la part des techniciens. En effet, les nombreux signaux parasites perturbaient la détection du signal utile.
(...)

Retrouvez la suite de cet article dans le Journal du Vrac N°105 Novembre-Décembre 2015